Vous étiez présent en 2017 au congrès BioMarine qui s’est tenu à Rimouski, au Québec, pour rencontrer les industriels et les investisseurs de l’économie bleue. Qu’en avez-vous retiré ? Peut-on selon vous concilier une vision conservatrice et les intérêts industriels ? En quoi ces entrepreneurs que vous rencontrez lors de BioMarine peuvent-ils changer l’avenir de notre planète ?
Ces rencontres régulières avec les industriels lors des congrès BioMarine permettent de mieux comprendre les tendances, les innovations et les développements qui amènent des solutions aux problèmes de nutrition, de santé et d’environnement. J’ai eu l’occasion de voir que nous pouvions mettre en place des systèmes d’aquaculture multitrophiques respectueux de l’environnement marin. J’estime que ces initiatives coopératives visant à développer les ressources marines en partenariat avec des industriels s’inscrivent dans un schéma d’avenir. Je suis heureux de constater que nos amis québécois ont mis en place un plan d’action ambitieux pour soutenir cette économie bleue. Je gage que nos amis portugais, qui accueillent à nouveau BioMarine en 2018, rivaliseront d’ingéniosité pour faire de leur économie bleue le fer de lance de leur développement futur.
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